SUIVI DES COMITES D’ELEVES VOLONTAIRES POUR LA PREVENTION ET LA LUTTE CONTRE LES VIOLENCES BASEES SUR LE GENRE DANS LES ECOLES PARTENAIRES EN SOUS DIVISION DE L’EPST DE NYIRAGONGO

Dans le cadre de la prévention des Violences Basées sur le Genre ; en date du 20 au 21 mai 2024, l’Association d’appui aux Initiatives de la Paix et le Développement (AIPD-ASBL) a effectué une mission de suivi de ses comités composés d’Elèves Volontaires pour la Prévention et la Lutte contre des violences Basées sur le Genre dans leurs écoles respectives en particulier et dans toute la communauté en générale en territoire de Nyira gongo. Ce mécanisme de prévention des VBG mis en place par AIPD-Asbl dans certaines écoles du Territoire de Nyiragongo, à l’instar de l’Institut Kibati, Institut Mugara, Institut Muningi, Complexe Scolaire Laetitia, CS Meilleur Choix, Institut Ushindi fait suite à la série d’activités de sensibilisation des élèves et acteurs éducatifs sur la prévention des VBG en milieu scolaire qui ont été organisées et tenues dans certaines écoles de la Sous Division de l’EPST de Nyiragongo depuis fin décembre 2023 en vue d’alerter leur opinion publique sur les risques et conséquences fâcheuses des VGB sur leur vie scolaire en Territoire de Nyiragongo, une zone à forte concentration des PDIs fuyant la guerre leur imposée par les terroristes du M23. Lors des entretiens avec les élèves membres des comités de prévention des VBGMS installés dans les différentes écoles susmentionnées, l’équipe de l’AIPD-Asbl déployée sur terrain a expliqué certains mécanismes et stratégies pour la prévention des cas des VBGMS afin d’épargner de tous les élèves et acteurs éducatifs des conséquences néfastes des VBGMS.             Faisant suite des entretiens, l’équipe d’animateurs de l’AIPD-Asbl, a fait connaitre aux élèves membres des CEVPL_VBGMS que les VBGMS sont des violations graves des droits humains et peuvent leur entraver au droit à l’éducation, qu’elles peuvent nuire à leur bien-être physique et social et à leur capacité d’apprentissage. Il a été démontré que l’école c’est un lieu d’apprentissage et d’épanouissement, mais qu’elle peut facilement aussi se transformer en espace dangereux, où les élèves, filles comme garçons, peuvent être victimes et voire même auteurs des différentes formes des VBG